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Biographe paris

Le biographe met sa plume au service de vos souvenirs.
 
 
Qui n’a jamais rêvé d’écrire ses mémoires ou celles de son grand-père ? Que l’on attende les grandes vacances ou la retraite, il est un moment où l’envie et le besoin de raconter sa vie ou celle de ses aïeux fait partie de nos désirs, voire de nos préoccupations.
 
 
Mais vous voilà face au syndrome de la page blanche, cette fameuse page — qu’elle soit à l’écran ou posée sur votre bureau — le reste désespérément. C’est à  ce moment-là queintervient.  Car il n’est rien de plus délicat, compliqué, que de se raconter et/ou raconter ceux qu’on aime. Quand l’affect est trop présent, les mots peuvent manquer. Le biographe vous viendra alors en aide. Il saura recueillir vos souvenirs, les remettre dans l’ordre chronologique et les agrémenter de quelques clichés, lesquels retrouveront une seconde vie dans un joli livre de poche.

 
 
Extrait d’une biographie :
 
 
« 25 juin 1940, il faisait beau, un temps normal pour la saison. Comme les autres jours, mes camarades et moi-même marchions sur le chemin de l’école. Certains d’un pas décidé, d’autres traînant un peu la patte, mais d’aussi loin que je me souvienne, la gaieté accompagnait souvent notre marche. Deux kilomètres séparaient l’école de nos habitations respectives et nous les parcourions quatre fois par jour. Nous empruntions l’avenue du Grand Louis, passions devant la belle demeure de monsieur le Maire, pour terminer sur la place de Mérignac, où trônaient fièrement l’église et son clocher, avant d’atteindre notre établissement scolaire.

 
 
Mais ce matin-là ne fut pas comme les autres, une surprise de taille nous attendait. Alors que nous débouchions sur la place, nous vîmes des dizaines d’hommes affalés sur les bancs publics, manifestement épuisés. D’abord apeurés, puis curieux et enfin attirés, nous nous étions approchés pour échanger quelques mots. Pour la première fois, je découvris des hommes noirs dans un uniforme de l’armée française, coiffés d’un chapeau bizarre, un chapeau rouge et rond. J’appris bien plus tard que ces soldats étaient des tirailleurs sénégalais. Jusque-là je n’avais vu qu’un seul homme noir dans ma jeune vie : le tirailleur rieur imprimé sur les boîtes de Banania ! Malgré notre envie d’échanger avec ces braves hommes, la cloche de l’école retentit nous obligeant à regret à abandonner ces malheureux à leur triste posture. Je me souviens avoir éprouvé de la peine bien que ne sachant pas grand-chose d’eux, mais la peur et la crainte se lisant sur leurs visages me firent parcourir un frisson dont je suis encore capable d’en ressentir l’intensité.
 
 
L’histoire de la Seconde Guerre mondiale s’écrivait dans notre pays, mais à ce moment précis nous n’en savions rien. »
 
 
 
N’hésitez pas à faire appel à nos services. Mon site vous permettra de prendre contact avec moi pour un premier rendez-vous  qui ne vous engage à rien, il permet surtout de faire connaissance et de mettre en confiance la personne dont les souvenirs doivent être retranscrits.
 
 
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