Endurance entrainement conseils suite - Santé Sports Société

Aller au contenu

Endurance entrainement conseils suite

ENTRAINEMENT ENDURANCE CONSEILS (suite)

Les plans d'entraînement 10 km, semi-marathon, marathon, trail, triathlon, voir musculation sont  conçus par Antoine Egiziano ancien champion de triathlon et coureur de fond entraineur FFA pour le demi fond et spécialisé dans la préparation physiologique du coureur.

Ces procédés d’entrainement pourront être accompagnés de conseils en diététique sportive, il vous sera aussi possible d’acquérir un plan d’entrainement personnalisé.

L'endurance fondamentale ou endurance aérobie  de base
Souvent le coureur de fond réalise ses sorties d’entraînement en endurance à des allures trop rapides. Or ce n’est qu’en courant lentement, en totale aisance respiratoire, que le coureur peut progresser durablement, il faut être facile pour progresser facilement.

A la question ‘’êtes-vous encore en endurance fondamental quand vous courez à 80% de votre FCM ?’’, (fréquence cardiaque maxima) beaucoup de coureur répondent par l’affirmatif. Erreur de leur part, pouvant être à l’origine d’une progression ralentie voir même de contreperformance ou de blessure.

Certes à cette allure, l’organisme fonctionne sur un équilibre réel mais doit lutter pour éliminer l’acide lactique et l’engorgement du muscle, déjà produit en quantité non négligeable, et se maintenir en aisance respiratoire. Le coureur ne peut plus parler sans faire des pauses pour reprendre son souffle, et termine les séances avec une légère sensation de fatigue. Il ne s’agit plus d’endurance fondamentale mais d’endurance active, l’entrainement étant en limite du seuil puisque celui-ci est à 80% il aurait fallu adopter une allure en dessous de ce seuil pour être en endurance fondamentale. Il est important pour le coureur de ne pas confondre ces deux types ‘’d’endurance’’.

En adoptant des allures trop rapides, le coureur ne bénéficie pas des effets positifs et indispensables qu’induit l’endurance fondamentale sur l’organisme, et cette sensation de bienêtre « endorphine naturelles » au bout de 30’ de courses.




Retourner au contenu